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Le 28 juin 2023, 21 compagnons d’Emmaüs de la Halte Saint Jean, à Saint-André-Lez-Lille, ont entamé une grève. Depuis 186 jours, les grévistes dénoncent une oppression systématisée et des conditions de travail éreintantes.
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Le 21 décembre, un mouvement de grève paralysait le trafic entre la France et la Grande-Bretagne. Au bout de plusieurs heures de blocage et de négociations, le rapport de force tournait à l’avantage des salariés : l’intersyndicale faisait plier la direction qui accédait finalement à ses revendications.
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Plus de 200 rassemblements avaient lieu en France ce vendredi 13 octobre, à l’appel de l’intersyndicale, pour réclamer l’augmentation des salaires et la hausse du pouvoir d’achat dans un contexte d’inflation. À Calais, 300 personnes ont manifesté derrière la banderole de l’intersyndicale locale, unie depuis le mois de janvier.
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Mardi 20 juin au matin, une partie du personnel du centre hospitalier de Calais a répondu favorablement à un appel à la grève nationale émis par la CGT santé.
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Pour la fête des mères, les salarié.es du Buffalo Grill de Calais se sont mobilisé.es à l’entrée pour inciter les clients à faire demi-tour par solidarité avec des conditions de travail que chacune et chacun trouvent de plus en plus déplorables.
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Le vendredi 2 juin, à quelques jours d’une nouvelle journée de mobilisation, les syndicats ont organisé à la bourse du travail une conférence de presse pour esquisser un premier bilan de la mobilisation contre la réforme des retraites après quasiment cinq mois d’actions.
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Depuis ce lundi 15 mai, le personnel de l’usine Catensys de Calais, qui produit des chaînes pour véhicules thermiques, est en grève. Les salarié⸱es réclament des augmentations de salaires et s’inquiètent pour l’avenir de leurs emplois.
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Tôt ce jeudi 13 avril, avant la manifestation, l’intersyndicale a réalisé deux actions conjointes de blocages. Deux ronds-points stratégiques pour deux zones franches : Marcel Doret et Transmarck.
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À Calais, elles et ils étaient plusieurs dizaines place Albert 1er, rassemblé•e•s malgré la pluie pour la journée internationale des droits des femmes et des minorités de genre.
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« Cette année encore notre lycée va perdre 4,5 postes d’enseignants » explique l’intersyndicale du lycée dans un communiqué. Depuis trois ans, ce sont 14 postes qui ont été supprimés dans l’établissement. Les enseignants sont en grève ce mardi 7 février.
