-
Ce vendredi 24 février, l’intersyndicale était en déplacement, avec son barbecue, au siège du Médef. Une délégation a pu rencontrer les responsables locaux de l’organisation patronale.
-
Le groupe Spin Master, qui a repris l’entreprise en 2013, veut fermer l’usine Meccano de Calais en 2024 : 50 emplois sont menacés. Quelques heures après l’annonce, les réactions se multiplient.
-
Le député Pierre-Henri Dumont (LR) va débattre avec les syndicats calaisiens ce mardi 21 février. Avant cela, nous décryptons ses interventions pour mieux comprendre son point de vue sur la réforme des retraites.
-
Jeudi 23 février à 20h30, le cinéma Alhambra de Calais organise la projection du film Les jours heureux, de Gilles Perret. Le prix est libre et l’intégralité de la recette sera reversée à une caisse de grève.
-
Ce jeudi 16 février avait lieu une ultime journée de mobilisation avant le durcissement du mouvement contre la réforme des retraites. Les syndicats appellent à « mettre la France à l’arrêt », le mardi 7 mars prochain.
-
La maire de Calais souhaite un nouveau projet artistique pour le Channel et veut se débarrasser de son directeur, Francis Peduzzi. Depuis l’annonce, de nombreux Calaisiens dénoncent cette attaque et promettent de défendre la scène nationale.
-
Toujours déterminés, les syndicats se sont réunis ce lundi 13 février à la bourse du travail pour préparer la suite de la mobilisation dans le Calaisis.
-
Nouvelle mobilisation réussie à Calais contre la réforme des retraites. Un cortège familial a réuni des milliers de personnes (8000 selon les syndicats).
-
La mobilisation ne faiblit pas dans le Calaisis. Près de 6000 personnes ont défilé dans les rues de Calais ce mardi 7 février contre la réforme des retraites du gouvernement.
-
Son silence commençait à faire beaucoup de bruit. Natacha Bouchart, maire de Calais, s’est enfin exprimée dans un communiqué rendu public ce mardi 7 février. Elle y fait – très subtilement – une annonce de taille.
-
« Cette année encore notre lycée va perdre 4,5 postes d’enseignants » explique l’intersyndicale du lycée dans un communiqué. Depuis trois ans, ce sont 14 postes qui ont été supprimés dans l’établissement. Les enseignants sont en grève ce mardi 7 février.
-
En levant la tête pour regarder la bâtisse, on a pu néanmoins s’apercevoir d’un sinistre détail. Outre le fait que la façade du bâtiment mérite un sérieux coup de compassion, on pouvait voir, sur les vitres du premier étage cinq croix gammées jaunes et orange fluos commises à la bombe aérosol.